Espace théâtre populaire Désiré BONOGO: Un autre symbole qui immortalise SANKARA à jour
La cuvette d’environ 3000 places assises laisser en disgrâce pendant 22 ans retrouve enfin son visage d’entand. Le théâtre populaire Désiré BONOGO puisse que c’est de lui qu’il s’agit est situé dans l’enceinte du CDC la termitière. Il a accueilli son premier public ce samedi 26 novembre 2022.
Le mytique théâtre populaire Désiré BONOGO a repris vie grâce au projet HARAKAAT de l’institut Goethe. Pour marquer la fin des travaux du projet c’est un spectacle de danse organisé sous la direction artistique de Salia SANOU avec et ses homologues venus du Sénégal le Soudan, le Burkina Faso avec la présence de Malika la slamazone, Hawa Boussim, et DJ Athena qui a été présenté au public ce 26 novembre 2022.
Les danseurs venus également du Soudan, le Sénéga, le Burkina Faso ont mis plein la vue aux spectacles sortie nombreux pour la cause.
Le public a assisté à une danse de mouvement du corps comme le nom du projet au rythme des sonorités et la voix de l’ancienne Kundé d’or Awa Boussim et Malika la Slamazone. Des tonneurs d’applaudissements de la part des participants brouissait de toute part comme pour dire merci au danseur et au formateur.
La danse c’est quelque chose qui parle à l’autre qui prend racine dans la terre c’est un hommage à maître Passéré Titenga le mot termitière donné au lieu est d’ailleurs emprunté pour lui rendre un hommage. Selon Salia SANOU.
nous rendons Un hommage à Thomas SANKARA qui lui-même venait ramasser les cailloux pour construire le lieu pendant les travaux d’intérêt commun. Quand ton a tout perdu ce qui nous reste c’est la culture ” a-t-il ajouté.
Le mot HARAKAAT signifie «mouvement» en langue Arabe.
Le spectacle tiens en trois mots:L’identité d’où venons nous; la contmoraineté l’urbanité et le futur. Le spectacle a été présenté en trois tableaux.
Marguerite Douanio Sou Président du Conseil d’Administration du CDC la termitière a remercier institut Goethe grâce à qui la réhabilitation a été possible. Ensuite elle a lancé une invite aux autorités qui sont dans le conseil d’administration le gouvernement et le conseil municipal a poursuivre en appuyant ces propos par ce proverbe africain qui dit ”quand on te lave le dos il faut te laver le visage. Cela pour dire que l’institut goethe a franchi le cap et nous devons maintenant faire le reste a t-elle dit. Elle a témoigné de son attachement à ce lieu et pense que c’est le cas pour tout les Burkinabè en ces termes : J’ai joué ici quand j’étais plus jeune. Il ne faut plus laisser cet espace dans le délabrement. Elle a conclut ces propos en lançant un appel en ces mots: Aux opérateur culturel aux artistes soyons ensemble pour maintenir cette maison vivante.