TERRE CEINTE IV à Kaya : L’Art de la Danse au Service de la Résilience

 TERRE CEINTE IV à Kaya : L’Art de la Danse au Service de la Résilience

Nous sommes à Kaya dans le cadre du projet TERRE CEINTE IV, une initiative culturelle et artistique révolutionnaire orchestrée par les Récréâtrales au Burkina Faso. Ce projet vise à transformer la vie des déplacées internes en utilisant le pouvoir du théâtre et de la danse pour apporter la guérison, la résilience et l’espoir.

L’un des joyaux de ce projet est la participation de Djibril Ouattara, un jeune promoteur et talentueux chorégraphe. Djibril se distingue par son immense créativité et sa capacité à puiser son inspiration dans les traditions, les valeurs ancestrales et les éléments de son environnement. Il est l’un des rares chorégraphes de sa génération à réussir cette fusion, faisant de lui une figure unique et précieuse.

La présence de Djibril dans ce projet est une véritable bénédiction. Sa courtoisie et son talent naturel apportent une énergie nouvelle et rafraîchissante à l’atelier de danse. Il est souvent entre deux avions, jonglant entre l’Europe et l’Afrique, et son expérience internationale enrichit les ateliers qu’il anime. Sa capacité à connecter les participants à leurs racines culturelles tout en leur offrant une perspective contemporaine est remarquable.

Grâce à TERRE CEINTE IV, les déplacées internes de Kaya ont l’opportunité de découvrir la danse sous un nouveau jour. Djibril les guide avec passion, leur offrant non seulement une chance de s’exprimer artistiquement mais aussi de retrouver espoir et sourire. La danse devient un moyen puissant de communion avec la culture et les traditions, un refuge où chacun peut se reconstruire et retrouver sa dignité.

Djibril Ouattara

Ce projet ne serait pas possible sans la vision et l’engagement d’Aristide Tarnagda, qui a su voir le potentiel immense de la culture et de l’art comme outils de résilience. Grâce à son initiative, TERRE CEINTE offre une lueur d’espoir et un nouveau départ à ceux qui ont tout laissé derrière eux.

Merci à Djibril Ouattara et Aristide Tarnagda pour cette magnifique aventure humaine et artistique qui redonne vie et espoir à Kaya.

BOUREIMA PASSERE

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